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Valeureux Liégeois

Refrain:
Valeureux Liégeois,
Fidèle à ma voix,
Vole à la victoire.
Et la liberté
De notre cité
Te couvrira de gloire

César vainqueur de l'univers
Te décerna le titre de brave
Des Romains tu brisas les fers
Jamais tu ne vécus esclave

Refrain

Célébrons par nos accords
Les droits sacrés d'une si belle cause
Et rions des vains efforts
Que l'ennemi nous oppose 

 

Chant des Wallons (Le)

Que jusque tout au bord, on remplisse nos verres
Qu'on les remplisse encore, de la même manière
Car nous sommes les plus forts, buveurs de blonde bière

Refrain:
Car nous restons
De gais Wallons
Dignes de nos aïeux, nom de Dieu
Car nous sommes comme eux, nom de Dieu
Disciples de Bacchus et du Roi Gambrinus

Nous ne craignons pas ceux, qui dans la nuit nous guettent
Les Flamands et les gueux, à la taille d'athlète
Ni même que les cieux, nous tombent sur la tête

Refrain

Nous assistons aux cours, parfois avec courage
Nous bloquons certains jours, sans trop de surmenage
Mais nous buvons toujours, avec la même rage

Refrain

Et quand nous fermons l'oeil, au soir de la bataille
Pour fêter notre deuil, qu'on fasse une guindaille
Et pour notre cercueil, qu'on prenne une futaille

Refrain

(Moderato !)
Et quand nous paraîtrons, devant le grand SAINT-PIERRE
Sans peur nous lui dirons, qu'autrefois sur la Terre
(Allegro !)
Grand Saint nous n'aimions, que les femmes et la bière

Refrain

 

 

A-fond Liégeois

Amis, il existe un moment
Où les femmes, les filles et les mères 
Amis, il existe un moment 
Où les femmes ont besoin d'un amant 
Qui les chatouille 
Jusqu'à ce qu'elles mouillent 
Et qui les baise 
Le cul sur une chaise 

Amis pour bien chanter l'amour 
Il faut boire (ter) 
Amis pour bien chanter l'amour 
Il faut boire la nuit et le jour 

A la santé du p'tit conduit par où Margot fait pipi
Margot fait pipi par son p'tit con-con
Par son p'tit duit-duit, par son p'tit conduit 
A la santé du p'tit conduit par où Margot fait pipi 

Il est en face du trou-la-trou-la-trou-la-trou-la-lère 
Il est en face du trou-la-trou-la-trou-la-trou-la-la

Il est en haut du trou ... 
Il est en bas du trou ... 
Il est à gauche du trou ... 
Il est à droite du trou ... 
Il est très loin du trou ... 
Il est très près du trou ... 
Il va passer par l'trou ... 

Vérolés, verre aux lèvres, 
Une minute de silence ! 
Un instant de recueillement ! 
Une seconde d'abnégation ! 
Vérolés, verre aux lèvres, A Fond !!! 

Il est passé par l'trou ... 
Il repassera par l'trou ..

 

Fanchon

Amis, il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon 
Buvons à l'aimable Fanchon 
Chantons pour elle quelque chose 

Refrain: 
Et ah ! C'que son entretien est bon 
Qu'elle a de mérite et de gloire 
Elle aime à rire, elle aime à boire )
Elle aime à chanter comme nous ) (ter)
Oui comme nous, oui comme nous 

Fanchon, quoique bonne chrétienne 
Fut baptisée avec du vin 
Un bourguignon fut son parrain 
Une bretonne sa marraine 

Refrain 

Fanchon préfère la grillade 
A d'autres mets plus délicats 
Son teint prend un nouvel éclat 
Lorsqu'on lui verse une rasade 

Refrain 

Fanchon ne se montre cruelle 
Que lorsqu'on lui parle d'amour 
Mais moi si je lui fais la cour 
C'est pour m'enivrer avec elle 

Refrain

 

 

 

Légionnaire (le)

Il est sur la terre africaine
Un régiment dont les soldats, dont les soldats
Sont tous des gars qui n'ont pas de veine
C'est la légion et nous voilà, oui nous voilà
Pour ceux qui aiment la discipline
Faut être passé par Biribi, par Biribi
Avoir goûté de la praline
Et travaillé du bistouri, du bistouri

Et on s'en fout, et après tout qu'est ce que ça fout, la, la, la
En marchant sur la grand-route
Souviens-toi, oui souviens-toi, ah ah ah
Les anciens l'ont fait sans doute
Avant toi, oui avant toi, ah ah ah
De Gabès à Ténériffe
De Tanger à Tombouctou
Sac au dos dans la poussière
Marchons les légionnaires

J'ai vu mourir un pauvre gosse
Un pauvre gosse de dix-huit ans, de dix-huit ans
Tué par une balle atroce
Il est mort en criant maman, criant maman
Je lui ai fermé les paupières
Recueilli son dernier soupir, dernier soupir
J'ai écrit à sa pauvre mère
Qu'un légionnaire, ça sait mourir, ça sait mourir

Et puisqu'on n'a jamais eu de veine
Pour sûr qu'un jour on y crèvera, on y crèvera
Sur cette putain de terre africaine
Enterrés sous le sable chaud, le sable chaud
Avec pour croix une baïonnette
Plantée là où on est tombés, on est tombés
Qui voulez-vous qui nous regrette
Puisqu'on est tous des réprouvés, des réprouvés

 

Fusil (le)

J'avais quinze ans et la passion des armes,
Un beau fusil tout neuf et tout luisant.
J'aurais voulu connaître les alarmes
Et les combats de tout soldat vaillant.
Mon père était de la garde civique,
Pour son ardeur on l'admirait beaucoup.
Ah mes amis ah quel plaisir unique, }
Quand on voyait papa tirer son coup} BIS

Un beau matin je lui dis petit père,
J'ai mes quinze ans et je voudrais essayer
Le beau fusil que naguère avec ma mère
Tu mis neuf mois à me pouvoir fabriquer.
Mon père me dit d'une voix martiale
"Ta noble ardeur me réjouit beaucoup,
Voici mon fils, voici toujours cinq balles, }
Va-t-en mon fils, va-t-en tirer ton coup" } BIS

En ce temps là vint un tir à la mode,
Qui s'établit je crois rue du persil,
Je m'en fut donc vers cet endroit commode
Pour essayer mon excellent fusil.
Toutes les cibles étaient belles et roses,
Mon beau fusil se dressa tout à coup.
Je déchargeai et je fis une rose, }
A mes amis que c'est bon le premier coup. } BIS

En peu de temps ma renommée fut grande,
De nobles dames se disputaient l'honneur
De chatouiller avec leurs mains fringantes,
Le beau fusil d'un si parfait chasseur.
Toutes les nuits j'étais à l'exercice,
Ma cartouchière n'était jamais à bout.
Mais maintenant j'use d'un artifice, }
Je ne veux plus par nuit tirer qu'un coup. } BIS

Et maintenant le beau fusil qui naguère,
A de si haut faits si souvent abusé
Repose en paix au musée de la guerre,
Où il surmonte deux vieux boulets usés.
Il a connu tant de chaudes alarmes
Et tant de combats livrés coup sur coup
Que si parfois il verse encore une larme, }
C'est par regret de ne plus tirer son coup. } BIS

 

Il faut boire

Quand on monde on est venus, (bis)
Braillants, suintants et tout nus.
Une voix dit péremptoire :

«Il faut boire, (bis)
Boire et toujours boire!» 

Toute la vie durant (bis) 
A la fête au premier rang (bis) 
Pour submerger nos déboires :

Dans nos goussets trop souvent, (bis)
Ne résonne que le vent. (bis)
Aux frais d'une bonne poire :

Sans soucis du lendemain, (bis)
En attendant l'examen, (bis)
Au diplôme aléatoire :

Tant que nos femmes auront (bis)
Seins jeunes, fermes et ronds, (bis)
Lèvres en feu, prunelles noires :

Quand la Camarde viendra (bis)
Nous cueillir entre ses bras (bis)
Pour finir gaiement l’histoire :

 

Cordonnier Pamphyle (le)

Le cordonnier Pamphyle
A élu domicile
Près d'un couvent de filles
Et bien il s'en trouva 
Ahah! Ahah!
Et bien il s'en trouva (bis)

Car la gent monastique
Jetait dans sa boutique
Des trognons et des chiques
Restes de ses repas...

Un jour la soeur Charlotte
S'asticotait la motte
Avec une carotte
Grosse comme le bras...

Mais quel qu'effort qu'elle fasse
En vain elle se masse
Elle s'astique la conasse
Le foutre ne vient pas...

Mais comme tout a son terme,
Enfin jaillit le sperme,
Le con s'ouvre et se ferme
Et elle déchargea...

Alors toute contente
Elle retire de sa fente
La carotte écumante
Et elle la jeta...

Par un hasard comique
La carotte impudique
Tomba dans la boutique
Du cordonnier d'en bas...

Cré nom de dieu! Quelle chance,
Elle est à la sauce blanche,
Bourrons-nous en la panse.
Et il la boulotta...

Cré nom de dieu Fifine,
Cette carotte sent l'urine,
Elle a servi de pine
Et il la dégueula!

 

Dans les bois de Gembloux

Dans les bois de Gemloux
Les ptites filles ont des ptits trous
les graçons de gros bâtons
Le tiens, le miens, les nôtres
S’emboitent l’un dans l’autre.

 

Charlotte

Dans son boudoir, la petite Charlotte,
Chaude du con faute d'avoir un vit,
Se masturbait avec une carotte
et jouissait étendue sur son lit.

Branle, branle, branle Charlotte,
Branle, branle, ça fait du bien.
Branle, branle, branle ma chère,
Branle, branle, jusqu'à demain.

Ah ! disait elle, dans le siècle où nous sommes
Il faut savoir se passer des garçons,
Moi pour ma part je me fous bien des hommes,
Avec ardeur je me branle le con.

Alors sa main n'étant plus paresseuse,
Allait venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse,
Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort.

Mais oh malheur, oh fatale disgrâce,
La jouissance lui fit faire un brusque saut,
Du contre-coup la carotte se casse
Et dans le con il en reste un morceau.

Un médecin praticien fort habile
Fut appelé, qui lui fit bien du mal
Mais par malheur la carotte indocile
Ne pu sortir du conduit vaginal.

Mesdemoiselles que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon.
Ah! croyez moi, laissez là la carotte,
Préférez-lui le vit d'un beau garçon.

 

Ah! Que nos pères étaient heureux

Ah! Que nos pères étaient heureux (bis)
Quand ils étaient à table,
Le vin coulait à flot pour eux: (bis)
Ce leur était fort agréable.

Refrain

Ils buvaient à leurs tonneaux,
Comme des trous, (bis)
Morbleu! Bien autrement que nous! (bis)

Ils n'avaient ni riches buffets (bis)
Ni verres de Venise,
Mais ils avaient des gobelets (bis)
Aussi grands que leurs barbes grises.

Ils ne savaient ni le latin,(bis)
Ni la théologie,
Mais ils avaient le goût du vin (bis)
C'était là leur philosophie.

Quand ils avaient quelque chagrin (bis)
Ou quelque maladie,
Ils plantaient là le médecin (bis)
l'apothicaire, sa pharmacie.

Et quand le petit dieu d'amour (bis)
Leur envoyait quelque donzelle,
Sans peur, sans crainte et sans détour (bis)
Ils plantaient là la demoiselle.

Celui qui planta le Provins (bis)
Au doux pays de France,
Dans l'éclat du rubis divin, (bis)
Il fait jaillir notre espérance.

Refrain final:

Amis, buvons à nos tonneaux,
Comme des trous (bis)
Morbleu! L'avenir est à nous! (bis)

 

Au 31 du mois d août

Au trente-et-un du mois d'a-oût (bis)
Nous vim's venir sous l'vent à nous (bis)
Une frégate d'Angleterre
Qui fendait la mer-z-et les flots:
C'était pour bombarder Bordeaux.

Refrain:

Buvons un coup lalala, buvons en deux c'est mieux,
A la santé des amoureux,
A la santé du Roi de France,
Et merd' pour le Roi d'Angleterre
Qui nous a déclaré la guerre !

Le Capitain' du bâtiment (bis)
Fit appeler son lieutenant, (bis)
"Lieutenant, te sens-tu capable:
Dis moi te sens -tu,assez fort 
Pour prendre l'Anglais a son bor?

Le Lieutenant fier-z-et hardi (bis)
Lui répondit: "Capitain'-z-oui !" (bis)
Fait's branle-bas à l'équipage
Je vas hisser le pavillon
Qui rest'ra haut nous le jurons !"

Le maitre donne un coup d' sifflet (bis)
Cargue les voiles au perroquet (bis)
File l'écoute et vent arrière
Laisse porter jusqu'à son bord
On verra bien qui s'ra le plus fort !

Vir' lof pour lof, au même instant (bis)
Nous l'attaquâmes par son avant (bis)
A coups de haches d'abordage,
De sabres, piqu's et mousquetons,
Nous l'eûm's vit' mis à la raison.

Que dira-t-on dudit bateau (bis)
En Angleterr'-z-et à Bordeaux (bis)
Qu'a laissé prendr' son équipage
Par un corsair' de six canons,
Lui qu'en avait trente et si bons ?

 

 

BANDAIS-TU ?

Si tous les pavés étaient des biroutes
On verrait les femm's s'coucher sur les routes.

refrain:

Bandais-tu, ban-ban-ban, bandais-tu fort
Quand tu pelotais les nichons d'Adèle
Bandais-tu, ban-ban-ban, bandais-tu fort
Quand tu pelotais ces divins trésors.

Si les cons poussaient comm'des pommes de terre,
On verrait les pin's labourer la terre.

Si tous les curés n'avaient plus de verge,
On verrait les nonnes employer des cierges.

Si les cons nageaient comme des grenouilles,
On verrait flotter plus d'une paires de couilles.

Si les cons volaient comme des bécasses,
On verrait les pines partir à la chasse.

Si toutes les putains étaient des lumières,
On prendrait la terre pour un lampadaire.

Si tous les cocus portaient des clochettes,
On n's'entendrait plus sur notre planète.

 

La Brabançonne d une putain

Je me souviens, lorsque j'étais jeune fille,
D'un jeune garçon qui passait par bonheur
Il me trouva si jeune et si gentille
Qu'il me montra sa gross'pine en chaleur
Et tout d'un coup, sous mes jupons s'élance
L'énorme queue qu'il tenait à la main,
Il déchira mon voile d'innocence
Voilà pourquoi je me suis fait putain! (ter)

Je ne sais pas si j'étais déjà coquine
J'aimais déjà qu'on m'châtouillât l'bouton,
J'avais goûté de ce bon jus de pine,
J'avais reçu du foutre dans le con,
J'avais baisé, je n'étais plus pucelle,
Je chérissais le métier de putain,
Plus je baisais plus je devenais belle,
Voilà pourquoi je me suis fait putain! (ter)

Quoique je ne sois qu'une fille publique
J'ai de l'amour et de l'humanité
Tout citoyen de notr'libre Belgique
A l'droit d'baiser et d'jouir en liberté,
Pour de l'argent, le riche aura ma fente
Le pauvre, lui, peut en jouir pour rien,
Pour soulager l'humanité souffrante
Voilà pourquoi je me suis fait putain! (ter)

 

La digue du cul

La digue du cul, en revenant de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu,
La digue, la digue,
De Nantes à Montaigu,
La digue du cul.

Refrain

Lève la hambe, voilà qu'ça entre, )
Lève la cuisse, cuisse, cuisse )
Voilà qu'ça glisse ) (bis)
Oh! hisse

La digue du cul, je rencontre une belle (bis)
Qui dormait le cul nu,
La digue, la digue,
Qui dormait le cul nu,
La digue du cul.

La digue du cul, je band'mon arbalète (bis)
Et la lui fous dans l'cul,...

La digue du cul, la belle se réveille (bis)
Et dit:"J'ai le diable au cul!",...

La digue du cul, non, ce n'est pas le diable (bis)
Mais un gros dard poilu,...

La digue du cul, qui bande et qui décharge (bis)
Et qui t'en fout plein le cul,...

La digue du cul, puisqu'il y est qu'il y reste (bis)
Et qu'il n'en sorte plus,...

La digue du cul, Il fallut bien qu'il sorte (bis)
Il est entré bien raide
La digue, la digue,
Il en sortit menu,
La digue du cul.

 

La femme du roulier (à ne chanter qu à minuit)

Il est minuit,
La femme du roulier
S'en va de porte en porte
De taverne en taverne,
Pour chercher son mari
Tireli
Avec une lanterne(Les trois derniers en bis)

Madam' l'hotesse,
Où donc est mon mari ?
Ton mari est ici
Il est dans la soupente,
Il y prend ses ébats,
Tirela,
Avec notre servante(Les trois derniers en bis).

Cochon de mari,
Pilier de cabaret,
Tu es là qui te saoule
Et qui fais la ripaille,
Pendant que tes enfants,
Tirelan,
Sont couchés sur la paille(Les trois derniers en bis).

Et toi la belle,
Aux yeux de merlan frit,
Tu m'as pris mon mari,
Je vais te prendre mesure
D'un' bonne culott' de peau,
Tirelo,
Qui ne craint pas l'usure(Les trois derniers en bis).

 

La salope

Il était une fille 
qui s'appelait Suzon
Et qui aimait à rire 
avec tous les garçons.

Refrain:

Ah la salope, va laver ton cul malpropre,
Car il n'est pas propre tirelire }
Car il n'est pas propre tirelira }(Bis)

Et qui aimait à rire
avec tous les garçons.
Mais à force d'en rire 
son ventre devint rond
... 
Mais à force d'en rire son ventre devint rond
Sa mère lui demande : qui t'a fait ça Suzon?
... 
Sa mère lui demande : qui t'a fait ça Suzon?
C'est l'fils du garde-barrière par derrière sa maison
... 
C'est l'fils du garde-barrière par derrière sa maison,
Il a mis sous ma robe un gros bâton tout rond
... 
Il a mis sous ma robe un gros bâton tout rond...
Y'avait du sucre au bout, mon Dieu que c'était bon...
Y'avait du sucre au bout, mon Dieu que c'était bon.
Si c'était à refaire, nous recommencerions...

 

Le plaisir des dieux

Du dieu Vulcain, quand l'épouse mignonne
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le noir époux, que l'amour aiguillone,
Tranquillement se polit le chinois.
Va-t-en, dit-il à sa fichue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux :
De mes cinq doigts, je fais une pucelle,
Masturbons-nous, c'est le plaisir des dieux.

Bah ! Laissons-lui ce plaisir ridicule,
Chacun, d'ailleurs, s'amuse à sa façon :
Moi, je préfèr' la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal' trou, la plus vieille fendasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux.
Nous serons fiers de marcher sur tes traçes
Baisons, baisons, c'est le plaisir des dieux.

Du dieu Bacchus quand, accablé d'ivresse,
Le vit mollit et sur le con s'endort,
Soixante neuf et le vit se redresse;
Soixante neuf ferait bander un mort.
Ô clitoris, ton parfum de fromage

Fait regimber nos engins glorieux.
A ta vertu, nous rendons tous hommage :
Gamahuchons, c'est le plaisir des dieux.

Pour Jupiter, façon vraiment divine,
Le con lui pue, il aime le goudron ;
D'un moule à merde, il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l'étron.
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux:
Après l' dessert, on s'encule en couronne,
Enculons-nous, c'est le plaisir des dieux. 
Quand à Pluton, avec sa large panse,
Le moindre effort lui semble fatiguant;
Aussi, veut-il, sans craindre la dépense,
Faire sucer son pénis arrogant.
Et nous, rêvant aux extases passées,
Tout languissants, réjouissons nos yeux
En laissant faire une amante empressée,
Laissons sucer, c'est le plaisir des dieux.

Au reste, amis, qu'on en fasse à sa tête,
Main, bouche, con, cul, au plaisir tout est bon.
Sur quelqu' autel qu'on célèbre la fête,
Toujours, là-haut, on est sûr du pardon.
Foutre et jou-ir, voilà l'unique affaire,
Foutre et jou-ir: voilà quels sont nos voeux.
Foutons, amis, qu'importe la manière,
Foutons, foutons, c'est le plaisir des dieux. 

 

Les moines de Saint-Bernardin

Nous sommes les moines de Saint-Bernardin (bis)
Qui nous couchons tard et nous levons matin (bis)
Pour aller, à matines, vider quelques flacons
Voilà ce qui est bon, et bon et bon,la,la,la

Refrain:

Et voilà la vie, ,la vie, la vie , la vie chérie.. 
Ah ! Ah ! ....... .....................................bis
Et voilà la vie que tout les moines font. .........

Pour notre déjeuner du bon chocolat (bis)
Et du bon café que l'on nomme moka (bis)
Et la tarte sucrée et les marrons de Lyon,
Voilà ce qui est bon, et bon et bon,la,la,la


Pour notre dîner des bons petits oiseaux(bis)
Que l'on nomme caille, bécasse ou perdreau (bis)
Et la fine andouillette et la tranche de jambon
Voilà ce qui est bon, et bon et bon,la,la,la 

Pour notre coucher dans un lit aux draps blancs (bis)
Une belle nonne de quinze à seize ans (bis)
A la taille bien faite et aux nichons bien ronds
Voilà c'qu'est bon, et bon et bon, 

La nuit, tous ensemble, nous nous enculons (bis)
Et puis jusqu'au jour, ensemble, nous buvons, (bis)
Après, dessous la table, nous roulons et dormons
Voilà ce qui est bon, et bon et bon,la,la,la 

Si c'est là, la vie que les moines font (bis)
Je me ferai moine avec ma Jeanneton (bis)
Et couché sur l'herbette, j'lui chatouill'rai l'bouton.
Voilà ce qui est bon, et bon et bon,la,la,la

Les quatre jouissances

La femme qui pète au lit
Qui pète au lit
Eprouve quatre jouissances,
Elle bassine son lit
Bassine son lit
Elle soulage sa panse
Elle entend son cul qui chante }
Elle emmerde son mari } Bis

 

Les trois orfèvres

Trois orfèvres à la Saint-Eloi,
S'en allèrent dîner chez un autre orfèvre.
Trois orfèvres à la Saint-Eloi
S'en allèrent dîner chez un bon bourgeois.
Ils ont baisé toute la famille,
La mère au tétons,
Le père au cul, la fille au con.

Refrain:

Relevez la belle votre blanc jupon,
Qu'on vous voit le cul,
Qu'on vous voit les fesses,
Relevez la belle cotre blanc jupon,
Qu'on vous voit le cul, qu'on vous voit le con.

La servante qui avait tout vu,
Leur dit:"Foutez-moi votre pine aux fesses!"
La servante qui avait tout vu,
Leur dit:"Foutez-moi votre pine au cul."
Ils l'ont baisées le cul sur une chaise;
La chaise a cassé,
Ils sont tombés sans débander.

Les orfèvres, non contents de ça,
Montèrent sur le toit pour baiser minette.
Les orfèvres non content de ça,
Montèrent sur le toit pour baiser le chat.
Chat, petit chat, chat tu m'égratignes,
Petit polisson,
Tu m'égratignes les roustons.

Les orfèvres chez le patissier,
Entrèrent pour s'offrir quelques friandises.
Les orfèvres chez le patissier,
Par les p'tits mitrons se firent enculer.
Puis, voyant leurs vits pleins de merde,
Ils ont bouffés ça
En guise d'éclairs au chocolat.

 

Bonsoir Mareye Clap’sabot

Bonsoir, Mareye Clap' sabot
R'trossez bien vos' cotte
Quand vos irez tchîre
Bonsoir Mareye Clap' sabot
R'trossez bien vos' cotte
Quand vos irez cô.

Bonsoir, Bonsoir,
Bonsoir, Mareye Clap'sabot,
Bonsoir, Bonsoir,
Bonsoir, Mareye Clap'sabot,

D'Joseph, vos avez des piaux
Dji les a veyou
Corir sur vos' tiesse

D' Joseph, vos avez des piaux

 

Brabançonne


Noble Belgique, ô mère chérie,
A toi nos coeurs, a toi nos bras,
A toi notre sang, mère patrie,
Nous le jurons tous tu vivras.
Tu vivras toujours grande et belle,
Et ton invincible unité
Aura pour devise immortelle :
"Le roi, la loi, la liberté"
Aura pour devise immortelle :
"Le roi, la loi, la liberté"

Dji les a veyou
Corir sur vos' cou

 

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